[Mizu Seikatsuhi]

• Nom : Seikatsuhi
  
• Prénom : Mizu
  
• Surnom : Mi’-chan
  
• Age : 224 ans humains
  
• Date de naissance : 04 Avril
  
• Race : Ange
  
• Pouvoir : Empathie
  
• Guilde : Indépendante

Mizu est une enfant très douce. Bien qu’âgée de 224 printemps, elle n’a que le physique d’une petite fille de 13 ans, et un caractère guère plus évolué, bien qu’elle ait une grande maturité, sans doute à cause de son don d’empathie qui lui permet de percevoir les sentiments de tout et chacun, leur ressenti… Cette jeune enfant est, dû à cela, incapable de faire le moindre mal à qui que ce soit, quelque soit la race de la personne face à elle, autant être penseur qu’animal, mortel ou immortel. C’est… un ange, c’est bien le cas de le dire. Elle est d’une douceur et d’une sympathie à couper le souffle, avec sa voix guère plus élevée qu’un murmure quelques soient les circonstances et son regard toujours perdu dans le vague, empli de toute la tristesse du monde. En effet, Mizu ressent la tristesse et la souffrance de tous, et cette charge si lourde à porter sur ses frêles épaules, l’a rendue extrêmement solitaire. Elle ne peut s’attacher et supporte difficilement le contact de trop grandes foules.

Mis à part ces quelques points, elle reste une enfant tout ce qu’il y a de plus banale. Bien qu’elle n’ait jamais éprouvé le besoin de faire de caprice, elle reste toujours en compagnie de son ours en peluche, seul ami à ce jour, qu’elle a nommé Kôwa, ce qui signifie « paix ». Elle est contre toute forme de violence, et semble toujours sur le point de pleurer quand on élève la voix à son encontre. Elle est très faible, c’est le cas de le dire, incapable de porter la charge qui pèse sur elle, et même si mieux que quiconque, elle sait dire les mots que les gens attendent, personne n’a jamais fait l’effort de dire ceux qu’elle souhaite tant entendre. Elle évite donc au maximum le contact avec la société, craignant tant la dureté du monde. Mais il y a aussi une autre raison, quand elle ne contrôle plus son don, elle s’évanouit tout en vomissant du sang, se vidant de ses forces. Son corps aussi bien que son esprit est trop faible pour ces expériences si intenses.

Parlons maintenant de ses goûts. Mizu est très calme et pacifiste, et elle aime particulièrement la nature. Elle est d’une patience et d’une bonté infinie et pardonne tout, ce qui la rend si appréciée ou détestée selon les cas. Elle est d’ailleurs incapable d’émettre un jugement sur le comportement des gens, qu’il soit bon ou mauvais, puisque chacun suit son propre chemin, même si elle est très chagrinée que tout le monde ne puisse s’entendre quand il suffirait parfois d’une main tendue. Elle est, par ailleurs, très maladroite et a du mal à tenir debout. Tête en l’air et toujours dans la lune, elle semble incapable d’effectuer deux choses en même temps, et a besoin d’aller à son rythme, doucement, tranquillement, ce qui est parfois très apaisant pour son entourage. Mais n’allez pas croire qu’elle soit bête pour autant, elle reste assez intelligente même si d’une naïveté incroyable. Il est si simple d’abuser d’elle que ça en devient presque ridicule. Mais je dévie.

Mizu est donc une jeune enfant très attachée à la nature, à la musique douce, et pour ce faire, elle a coutume de chanter, tout doucement. On lui a souvent dit que sa voix avait des vertus apaisantes, mais elle, la seule chose que cela lui amène, est un bref silence dans la tempête des émotions qui vit en elle. Et ce calme, elle l’apprécie plus que tout. Elle aime d’ailleurs tout aussi, voir plus le silence, qu’elle ne connait que très peu, puisque même quand ses oreilles n’entendent rien, son cœur perçoit la voix des âmes des autres. Etonnante enfant, n’est-ce pas ? Mais elle a d’autres passions, comme la lecture, qui lui permet de s’évader, où la méditation. Par contre, elle a une certaine horreur pour les sports, puisqu’elle est incapable de coordonner son corps convenablement, et qu’elle finit toujours par se blesser. Mais étonnamment, les gens ont toujours l’impression de la voir danser, tellement ses mouvements sont lents et plein de grâce.

Voilà ce qu’il en ait pour ce qu’elle aime. Maintenant, ce qu’elle déteste… Et bien, la seule chose qu’elle déteste réellement est son don, qui a gâché sa vie, même si elle ne se juge pas particulièrement nécessaire. Bien au contraire, elle est toujours à s’excuser de tout, si bien que ça en devient ennuyant, et à remercier les gens de leur gentillesse à son égard, qu’elle juge ne pas mériter, elle qui n’est jamais à la hauteur. Elle est donc bien plus que modeste. Donc, si elle déteste son don, c’est surtout parce qu’elle entre dans l’intimité des gens et qu’elle se détruit à force de lire la noirceur des êtres vivants. Elle est devenue très honnête à cause de cela et est complètement incapable de mentir, même le plus petit mensonge. Et d’ailleurs, cela inclut aussi les autres. Ainsi, si on lui ment, elle ne pourra s’empêcher de le signaler. On pourrait presque dire que parfois, c’est un manque de tact flagrant, mais elle ne le fait absolument pas exprès, c’est juste sa façon d’être, droite et honnête. Mais la chose qu’elle déteste le plus au monde, c’est bien elle, de n’être à la hauteur de rien, incapable de rien, puisqu’elle n’a jamais réussi à trouver ni guilde ni métier qui lui conviennent, ni même une façon d’être utile aux gens qu’elle ne peut approcher.

Enfin, pour finir sur notre douce enfant, il faut savoir qu’il est à la fois très simple et très dur de l’approcher, puisqu’elle a un caractère très particulier, et que beaucoup de gens ont tendances à s’énerver contre elle, ce qui entraine le rejet de la société à son égard. Et si la seule personne à qui elle parle réellement de tout ce que elle ressent est Kôwa, c’est uniquement parce qu’elle ne souhaite ni inquiéter les quelques personnes qui tiennent à elle, ni reposer uniquement sur eux, et non pas par prétention, comme on pourrait le croire sans la connaitre. Elle est même au contraire, très simple d’esprit, et il est assez aisé de deviner ses pensées les moins profondes, à partir du moment où on lit en elle comme dans un livre ouvert.




Mizu est une enfant qui, si elle avait été humaine, n’aurait pas eu plus de treize ans. Elle atteint difficilement les un mètre cinquante, même si elle ne passe pas pour autant inaperçu. Il faut dire qu’une jeune fille incapable de tenir debout, qui au moindre obstacle manque de tomber, et qui au moindre effort physique tombe à genoux en vomissant son sang ne passe pas inaperçu. Elle n’a aucune force physique et son corps est si faible qu’on croirait pouvoir le briser, ce qui n’empêche que par bien des côtés, cela ne la rend que plus attrayante, puisque cela donne envie de la protéger. Et à protéger, la demoiselle a beaucoup à donner. Sans parler de sa maladresse presque légendaire, il faut aussi compter son sourire presque toujours absent. Mais pour comprendre, il faut sans doute une description.

La jeune enfant est donc assez petite. Elle a, pour autant, des cheveux gris qui lui tombent légèrement en dessous des hanches pour les plus longs, même si elle a une frange qui masque son front. Son visage est fin, angélique, presque trop parfait tant il est magnifique, éclairé par deux prunelles violettes presque roses. Quand la joie les éclaire, alors toute la jeune fille semble rayonner, entourée d’une aura éblouissante. Mais cela n’arrive que très rarement, puisque l’expression qu’on lui voit le plus souvent est la tristesse et la douleur. Elle ne lève que très rarement les yeux sur les gens, préférant les garder fixer au sol, et si par malheur elle croisait le regard de quelqu’un, elle s’en excuse directement. Ce qui fait que lire dans ses yeux n’est pas aisé. Sinon, le reste de son visage semble plongé dans un vide intersidéral, où aucune émotion en particulière n’apparait le plus clair du temps, comme si l’endroit où son esprit se réfugie ne permettait pas de laisser passer des sentiments autre que la mélancolie.

Mais revenons-en au physique en général. Ses formes sont plutôt développées au niveau des hanches pour une gamine, même si elle ressemble à une planche à pain en haut. Elle ne s’habille en général que de robes légères, presque trop parfois même si elle ne ressent pas le froid, robes qui laissent son dos nus et qui tombent légèrement au dessus des genoux. A ses pieds, elle porte des sandales toutes simples, et autour du poignet, elle a un bracelet en cuir, seul « bijou » si l’on peut dire. Elle ne porte en effet ni collier, ni boucle d’oreilles, ni maquillage d’ailleurs, rien de tout cela, ce qui met encore plus en valeur sa peau d’une blancheur cadavérique.

Mis à part ça, elle a deux magnifiques ailes blanches dans son dos qui ne l’aide pas à passer inaperçu. Bien qu’elles soient assez petites, à peine la hauteur de son dos, elles étincellent de mille feux sous le soleil. C’est d’ailleurs la seule partie de son corps qui supporte le soleil. Elle possède d’autres attributs physiques qui témoignent de sa race, comme sa grande beauté ou encore l’aura qui l’entoure quand elle est joyeuse. Mais à part cela, elle n’a aucune cicatrice ou tatouage. Elle n’a jamais trouvé cela utile de se faire tatouer et n’a jamais été impliqué dans une bagarre qui lui eut laissé d’aussi graves séquelles. Elle se blesse bien assez toute seule, et est constamment couverte de bleus, qui disparaissent pourtant très rapidement.

Ses seuls effets sont un petit sac à dos dans lequel tient un livre, qu’elle échange à chaque nouvel endroit où elle peut, ainsi que Kôwa, sa peluche et son fidèle ami. Il y a, en plus de cela, une ou deux tenues de rechange, guère plus, et encore moins d’argent, puisqu’elle se retrouve obligée d’aider à chaque endroit où elle atterrit pour obtenir de quoi manger, sous peine de dépérir de faim. Même s’il faut bien avouer que les travaux physiques ne sont vraiment pas son fort et que, avec elle, tout tourne rapidement à la catastrophe.

Mizu est née un 4 Avril, jour de la fleuraison des cerisiers. Née de deux parents anges, elle a été choyée depuis sa plus tendre enfance, personne ne lui ayant laissé le temps, sur leur toute petite île où ils vivaient à cinq, de s’ennuyer. Elle vivait avec un garçon, d’un demi-siècle son aîné, ainsi que de sa mère et de ses parents à elle. Son ami n’était pas un ange, mais une sirène, si tant est qu’il est un masculin pour ce mot. Avec sa mère, ils avaient fui une île proche de là, ravagée par la guère, et vivaient désormais en harmonie avec la petite famille. Le don de la demoiselle s’est déclaré alors qu’elle atteignait ses 25 ans. Elle commençait à prendre pleinement conscience du monde qui l’entourait, de chaque fleur, chaque petit insecte, regrettant pour bien des raisons de ne pas être née humaine, avec la faculté de se lier à l’un de ces animaux.

Ce jour là, elle rentrait d’une longue promenade en forêt. A cette époque, elle n’avait pas encore ses problèmes d’équilibre. Elle avait pressenti quelque chose d’étrange et en effet, des assassins avaient empoisonné la mère de son meilleur ami. Alors qu’elle le serrait dans ses bras, elle avait ressenti toutes ses émotions, chacun de ses sentiments. Et depuis, jamais son don ne s’est tut, continuant de la dévorer de l’intérieur, même si elle l’a caché pendant très longtemps, se contentant d’user de ce don pour aider ses parents et son ami. Les choses allaient bien, presque trop, pour la jeune ange. Et d’ailleurs, elles ne manquèrent pas de se gâter. Mais pour le moment, la vie suivait son cours sur cette toute petite île.

Mizu grandit doucement, apprenant la vie à sa manière, très calme et très lente. Depuis que son empathie s’était développée, elle éprouvait des difficultés d’équilibre et son corps s’était affaibli, même si elle parvenait encore à effectuer quelques efforts physiques, au prix d’une grande fatigue. Sa famille s’inquiétait beaucoup pour elle, et pour sa santé qui se dégradait au fur et à mesure. Mais le plus gros incident fut quand ils reçurent un bateau de marchand. Il arrivait parfois qu’un navire s’égara loin des routes habituellement fréquentées, et qu’il échoue sur leur île. Ce fut le cas. Il y avait une vingtaine de personne à bord du navire, et la petite enfant fut chargée d’aller les escorter. Cependant, à peine entra-t-elle dans le champ d’action de son don qu’elle tomba à genou, se vidant de son sang, avant de s’évanouir. Il lui fallut une semaine complète alitée avant de pouvoir de nouveau marcher, et autant dire qu’elle évita alors tout contact avec les inconnus, qui se posaient d’ailleurs beaucoup de questions. Mais ce n’était pas les seuls. Et elle finit par avouer à ses parents et celui qu’elle considérait comme un frère le don qu’elle avait découvert, bien des années auparavant. Il fallut un certain temps avant que la vie ne se réaménage pleinement autour d’elle, chaque détail insignifiant étant arrangé pour lui éviter au maximum de souffrir. Plus encore qu’avant, elle vivait spoliée, dans un cocon et surtout, à l’abri du regard des autres.

Les marchands repartirent sans vraiment savoir ce qui était arrivé à l’étrange enfant, mais intérieurement, elle savait qu’ils avaient compris, d’une certaine manière, la nature de leurs hôtes. Mais cela ne modifia en rien le comportement de l’enfant, qui vivait à son rythme, très doucement, prenant le temps de s’émerveiller devant chaque aspect de la vie, sauf peut-être le pire à ses yeux, la destruction. Une fois, elle assista à une guerre entre deux « clans » de fourmis. Elle se souvint clairement des émotions qui l’avaient transpercée. La peine, la douleur. Elle avait d’ailleurs fondue en larme, et n’avait alors plus pu regarder les fourmis vaquer à leurs occupations. Cette image ne cessait de la hanter. Il lui fallu de nombreuses années avant de découvrir l’existence de la guerre. Un jeune homme s’était échoué au large de leur île, presque mort. Elle avait rameuté son frère pour qu’il aille le chercher, puisqu’elle était incapable de nager. C’était elle qui s’était occupée de lui pendant tout le temps de son rétablissement, et en échange, il lui parlait de la vie au-delà des frontières qu’elle n’avait jamais franchi. Son navire avait été attaqué par des pirates quelques jours avant qu’il échoue sur la petite île. C’était un humain, sur un navire d’humain, et il était âgé d’une vingtaine d’année. C’est lui qui lui offrit son ours en peluche, mais aussi toutes les horreurs du monde sur un plateau. La guerre qui faisait rage entre les races et les clans, et Eldior, un mage qui semblait être en train de conquérir le monde.

Mizu buvait littéralement chacun des mots de son nouvel ami, qui lui ébouriffait les cheveux. Il avait accepté sa condition d’ange empathique dès le départ, et s’efforçait de calmer les émotions qui le traversaient quand il racontait ses histoires, afin de ne pas la bouleverser. Il lui raconta la guerre, la mort, mais aussi la beauté de la paix de des autres îles de Serayane. Autant dire qu’elle aima particulièrement cette dernière. Il lui chanta des chansons, lui apprit la couture et l’écriture, la lecture et le solfège… Et c’était une élève passionnée par tout ce qu’elle faisait, même si très lente à appliquer les choses. Elle était très minutieuse, et il se révéla vite qu’elle était particulièrement douée dans tout ce qu’elle faisait, si tant est qu’on ne la pressait pas. Elle rendit son précepteur heureux et fier d’elle, à tel point qu’il en oublia le temps qui passait aux côtés de sa jeune disciple. Mais pour les humains, la vie est courte, et un jour, il ne se réveilla pas. Il était tombé malade quelques semaines plus tôt, et elle n’avait pu le soigner. Cet événement bouleversa son quotidien. Elle rejeta d’abord tout contact, puis noua des liens encore plus forts avec son frère qui était parti passer quelques mois sur d’autres îles, afin de découvrir le monde à sa manière. Quand il revint et qu’il apprit pour la mort de l’humain, il se contenta de hausser les épaules. Il avait découvert à quel point la vie était éphémère pour ces êtres, après une romance qui s’était achevée par la mort de sa bien-aimée.

Les parents de Mizu prirent une décision quelques années plus tard, en se rendant compte du renfermement de leur fille. Il n’y avait rien à faire, quand des gens faisaient escale chez eux, elle partait s’isoler, comme si elle n’existait plus, et elle semblait ne plus vouloir du monde extérieur. Quand la paix fut bien installée, sous le joug d’Eldior, ils décidèrent d’envoyer leur fille et leur fils adoptif, ensemble, à la découverte du monde. C’était d’ailleurs aussi une façon de leur montrer d’autre côté de la vie que la mort, qui sanctionnait chaque vie comme étant le point d’un long paragraphe. Ils partirent donc ensemble, avec pour seuls effets personnels de quoi survivre quelque temps. Ils partirent par la mer, sur un bateau qui avait fait une brève escale sur l’île, promettant de revenir vite. Afin de payer la traversée, l’ange se chargea de chanter, de sa voix si douce qu’elle apaisait tous les tourments et toutes les rancœurs des passagers. Ils mirent pied à terre quelque jour plus tard sur une île-ville. A cause d’un incident idiot, ils se séparèrent, son frère lui en voulant de sa maladresse. Même si l’un comme l’autre savait que cette dispute serait finie au matin, son frère quitta l’île pour une autre, plus lointaine. Elle se retrouva donc seule, livrée à elle-même.

Mizu apprit doucement à vivre, les dures réalités qu’elle n’avait connues qu’au travers des récits de son maître. Elle n’appartenait à aucune guilde et ne voyait pas laquelle aurait pu lui aller, à cause de sa maladresse et de sa naïveté, et bien des gens abusèrent de sa crédulité. Mais malgré tout, elle continua d’aller de l’avant, s’effondrant bien des fois de fatigue ou dû à des malaises, à cause de son don qui la dévorait de l’intérieur. Elle cherchait son frère, qu’elle n’arrivait à trouver, continuant en même temps une quête plus profonde, quête de la paix avec pour seule compagnie Kôwa, son ours en peluche. Mais plus elle passait de temps au contact des gens, plus son état empirait, au point qu’elle sombra dans un coma très profond pendant presque deux années. Quand elle se réveilla, il lui fallu bien du temps avant d’apprendre à contrôler très légèrement son don. Elle avait perdu toute trace de son frère et ne se souvenait plus du chemin pour rentrer chez elle. Aussi continua-t-elle simplement d’aller de l’avant, tentant tant bien que mal d’oublier le passé, afin de mieux se consacrer au présent, puisque le futur n’existe pas.

Au jour d’aujourd’hui, cela fait maintenant un demi-siècle qu’elle va d’île en île, enchainant les petits travaux et les catastrophes. Elle n’a toujours pas rejoint de guilde, aucune n’était réellement à son goût et ne convenant vraiment à ce qu’elle sait faire. Elle n’a pas non plus de métier fixe, pouvant, en fonction de l’endroit où elle se trouve, soigner les cœurs, chanter et animer les soirées de sa douce voix, ou encore réparer les filets des pécheurs et les robes des jeunes femmes. Elle ne s’est pas vraiment fait d’ennemi partout où elle est allé, mais pas non plus d’amis, refusant catégoriquement de rester plus d’un mois au même endroit, préférant largement ne pas trop s’attacher aux gens. Dernièrement, elle vient d’arriver à Mistria, la capitale de Serayane. Elle n’a pas encore eu vraiment le temps de s’y installer, et elle n’a pas non plus de but particulier, juste que ses pas l’ont guidées vers l’une des plus grandes îles du pays.

• Remarque quelconque sur le forum : Pas grand-chose à dire, si ce n’est que dans les îles, faudrait peut-être mettre une catégorie « îles en général », parce que sinon y a plus trop l’choix de où on peut RP. Mais c’est juste une suggestion ;p
  
• Avez-vous lu le règlement : [Je préfère les Werther's x) Vérif Eldior ok ^^]
  
• Comment avez-vous connu le forum : Par Triumvirat RPG’s top-site !

Après l’effort, le réconfort ! Mwahaha, à vous de travailler maintenant ! n.n Bon, j’avoue, la fiche est moyennement pas très longue mais euh… J’avais pas trop la motivation de faire une histoire bien détaillée, je garde des surprises pour ses divers flashbacks, c’est plus rigolos. Ah, et, pas tapeeer ! Je sais, j’ai modifié la fiche mais euh, y a toutes les parties prévues non ? Même si certaines ont été regroupées ! >,< Désolée, mais j’ai pas pu résister, j’aime trop faire mes fiches comme ça … Au pire je changerai. n.n

Arrrg, "La longueur de votre message dépasse la limite autorisée." Ca, c'est ce pourquoi je supporte pas Forumactif, à chaque fois, je me fais jeter T-T Bon, aloors, où couper ><
Et voilà, ce coup-ci, c'était le bon ! n.n

Merciii !

( Tu veux que je les rajoute les trois lignes pour l'histoire ? xD )

S'nan merci pour les compliments, j'ai pas l'habitude... *Rooh la menteuse ><* Non, fin d'habitude, mes fiches sur forumactif, elles faisaient trois postes... ( et je me faisais tuer parce que c'est trop long xD ). D'ailleurs au passage, ça veut dire que j'ai le droit de garder mon ange ? Parce que pendant un moment, je me suis dit que y avait peut-être pas le droit vu que c'est super rare normalement.

En tout cas, j'adore le forum, et merci pour tout Erya-san !

Rien à redire pour ma part, je vais donc te valider

Bienvenue !

P.S. : N'oublie pas les offrandes au maître du monde...

*sort*

Alors les deux autres jeunots on fait leur boulots, donc normalement j'ai rien à rajouter, mais je tenait à te souhaiter la bienvenu et à te féliciter pour cette fiche tout simplement impressionnante, et de très bonne qualité...
Et pour la guilde, bien sur ya pas de souchis... Et vu le niveau, si on ne t'accepte pas en temps qu'ange, on n'acceptera personne... Donc il ne pause aucun problème